Cet organigramme est issu d’une réflexion rapide en quelques minutes intenses avec quelques collègues du programme Time To Test en marge de nos actions de sourcing de start-up. Il s’agit de modéliser les entretiens avec les dirigeants de start-up pour être efficace et tester les potentiels pour d’éventuelles pépites.
Au préalable, l’idée doit être originale, différenciante et répondre à un problème. Et comme le dit Carlos Diaz, co-fondateur de l’accélérateur The Refiners, dans Made in Silicon Valley, « Plus le problème à résoudre est gros, plus l’opportunité business est grande« .
Beaucoup de start-up gagneraient à effectuer des benchmarks en amont et à l’international sur des projets ou idées analogues aux leurs. Le fait de passer à l’échelle, de se faire doubler par une entreprise, pas forcément meilleure techniquement mais qui aura un Go to market plus efficient ou encore se faire soit absorbé par un des 9 fantastiques (GAFAM + NATU) qui n’est pas forcément une mauvaise chose d’un point de vue financier soit se faire déposer tel un Lance Armstrong larguant à 2 km d’une arrivée au sommet un coureur seul échappé, etc. sont des paramètres à intégrer dans la stratégie.
Au-delà le pitch de la start-up doit être finement travaillé et huilé comme savent le faire les jeunes pousses de la Silicon Valley.
*S’il s’agit d’un marché naissant et en croissance, le fait d’être le premier et en monopole souvent temporaire n’est pas un facteur déterminant pour le rester. Les aspects de capacité de passer à l’échelle, de lobbying, d’empêcher ou de contraindre l’arrivée de nouveaux entrants/concurrents sont fondamentaux.
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