À propos de la fracture numérique
« Concernant le bon nombre de citoyens qui n’y ont pas (encore) accès, je vois une majorité du 3ème âge parmi ces réfractaires..(Pour les très vieux c’est fichu d’avance).
J’évalue à 50% actuellement la partie de la population qui reste réfractaire à l’informatique – dont ma propre conjointe, que je n’ai jamais pu y initier depuis 5 ans malgré mes efforts (refus d’apprendre à s’en servir et d’écouter mes tentatives pour l’y intéresser; elle reste du mauvais côté de la fracture numérique, ce qui est de plus en plus souvent gênant car je reçois de nombreux méls, photos etc…qui nous concernent tous les deux ou elle uniquement, et elle est dans l’incapacité totale de consulter l’ordinateur et encore moins de répondre !
Lorsque c’est elle uniquement qui est concernée il faut que je fasse le petit télégraphiste, sinon c’est le pépin en perspective…
Que penses-tu de ce problème en général ?
C’est comme si des gens refusaient d’apprendre à se servir du téléphone en étant environnés d’utilisateurs du téléphone. »
(Jean-Paul M., Larmor, 22)
« Ma préoccupation est de savoir quelles recommandations présenter aux dirigeants africains pour appliquer et prendre des décisions importantes sur la pratique de l’internet en vue de sauver La République démocratique du Congo du sous-développement » (Armel I, Rép. Démocratique du Congo)
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