L’édition 2024 de ce guide coordonné par Christophe Asselin de Digimind confronte la vision de 36 experts du numérique. Cette 7e édition est nécessaire dans un monde VUCA (votalile, incertain, complexe et ambigu). Il permet de faire le point des tendances côté marketing digital et réseaux sociaux dans un monde post-pandémie et avec des zones de conflits multiples.
On notera au préalable le nombre d’occurrences de termes pour mieux mesurer l’importance de certains :
– Réseaux sociaux : 57
– IA générative + IA génératives : 51
– Twitter : 26
– Intelligence artificielle : 23
– Marketing digital : 17
– Data : 13
– TikTok : 12
– Métavers : 3
– Web : 3
En cette année olympique notons la contribution de Claire Renault « en investissant le gaming et l’e-sport, les marketeurs auront plus d’un Discord à leur arc ». Outre l’IA générative qui se taille la part du lion, les influenceurs, la sobriété et l’authenticité ressortent également à travers les contributions. Alina Taher pose une question légitime « définir la valeur ajoutée des plateformes alimentées par l’IA » car cette dernière n’est pas une panacée mais doit correspondre à un cas d’usage et à une réponse à une problématique précise.
Les contributeurs de cette édition sont par ordre d’apparition Caroline Faillet, Rémy Baranger, Maria Mercanti-Guérin, Jean-Marc Dupouy, Claire Renault, Anthony Rochand, Fadhila Brahimi, Jean-Denis Garo, Sandrine Cormary, Pierre Cappelli, Céline Beckrich, Jérôme Bondu, Emilie Marquois, Camille Jourdain, Patrice Laubignat, Floriane Simoni, David Fayon, Marianne Felce-Dachez, Christophe Thil, Hannah Forbes-George, Arnault Chatel, Marie-Laure Laville, Christophe Bisson, Simone McNichols-Thomas, Fabrice Lamirault, Martine Le Jossec, Damien Douani, Maud Rochand, Yann Cormant, Romane de Certaines, Yann Gourvennec, Véronique Pernin, Nicolas Celic, Alina Taher, Jérôme Monange, Christophe Asselin.
Pour ma part j’aborde 3 sujets :
– fragmentation des réseaux sociaux car pour suivre son audience il est nécessaire d’être présent partout avec des messages différenciés qui plus est ;
– sélectivité pour l’IA générative parce que celle-ci n’est pas partout nécessaire et comme on dit il n’est pas toujours nécessaire de prendre un marteau pour écraser une mouche ;
– Retour sur investissement des influenceurs enfin car les budgets des directions marketing et communication sont comptés et il convient d’en avoir pour son argent et de piloter les retombées commerciales des actions engagées.
Il constitue un guide de référence avec des visions croisées d’experts, du fond et librement téléchargeable.
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