Une étude a été menée par AlterBuzz et Visionary Marketing pour mesurer la perception de l’e-réputation dans les entreprises françaises en 2020 tant B2B que B2C. 285 personnes ont été sondées pour cette étude. Des experts se sont exprimés en rebond aux résultats de l’étude pour confronter leur vision (Cyril Bladier, Fadhila Brahimi, Frédéric Canevet, Jean-Philippe Cunniet, David Fayon, Maëlle Garrido, Jean-Marc Goachet, Patrice Laubignat, Hervé Pillaud, Anthony Poncier, Grégory Saccomani, Olivier Saint-Léger, Michaël Tartar) à travers encarts et verbatims.
L’étude peut être téléchargée en choisissant son site soit Good Buzz soit Bad Buzz (c’est un peu comme les films Smoking et No Smoking d’Alain Resnais sauf que dans les deux cas, cela renvoie sur la même page du site Alterbuzz et non sur deux).
Les objectifs de l’étude étaient :
1. de savoir si chaque entreprise avait conscience de son e-réputation et quelle était sa perception,
2. de mesurer l’impact de cette e-réputation sur l’activité de l’entreprise,
3. de prendre conscience du travail pour corriger l’e-réputation si elle est mauvaise ou perfectible et comment, notamment lors des crises.
Le billet complet qui livre les analyses de l’étude est sur le site Visionary Marketing. du stakhanoviste Yann Gourvennec en cette période de Covid19.
J’ai livré ma vision de la e-réputation à l’horizon 2025 pour trois catégories d’acteurs concernés : les entreprises, l’Etat et les citoyens.
Michaël Tartar a souligné dans un billet que 11 des 113 indicateurs du modèle de maturité numérique DIMM (Digital Internet Maturity Model) développé dans le livre Transformation digitale 2.0 étaient en rapport avec la e-réputation. Ceci pourrait permettre de construire un outil dérivé et avec un focus plus restreint pour mesurer le degré de maturité dans la e-réputation des organisations. Et ce dans une optique d’amélioration continue.
Bonne lecture.
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